>   La mer farceuse
La mer farceuse

La mer farceuse

6-8 ans - 12 pages, 449 mots | 6 minutes de lecture | © Le Regard Sonore, pour la 1ère édition - tous droits réservés


La mer farceuse

La mer farceuse

Parvenant à se détacher de l’iceberg, Moko et Alarick amarrent leur bateau dans une petite crique. Ils descendent et vont chercher du bois pour se faire des cannes à pêche. Mais, à leur retour, le niveau de l’eau a baissé, la mer est loin. Dépités, ils tentent d’aller trouver une rivière plus loin. Mais l’eau et gelée et la glace trop épaisse. Affamés, fatigués et découragés, ils retournent au bateau… La mer est revenue ! Alarick et Moko laissent leur bateau glisser avec la mer afin de prendre le large. Aussi pêchent-ils enfin quelques poissons, persuadés que la mer voulait les emmener plus loin pour leur offrir une meilleure pêche…

"La mer farceuse" vous est proposé à la lecture version illustrée, ou à écouter en version audio racontée par des conteurs et conteuses. En bonus, grâce à notre module de lecture, nous vous proposons pour cette histoire comme pour l’ensemble des contes et histoires une aide à la lecture ainsi que des outils pour une version adaptée aux enfants dyslexiques.
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Extrait du livre La mer farceuse

La mer farceuse Un conte de Arnaud de Buchy Module pédagique par Emmanuelle Reyss & Jean-Baptiste Lorenzo Illustrations Sonia Grandame & Joachim Hérissé Editions Le Regard Sonore


La crique où se trouvait le bateau d’Alarik et Moko était des plus tranquilles, pas une vague pas un bruit sinon une brise légère. « Nous ne pouvons pas lancer notre filet ici ! » dit Alarik. « L’eau n’est pas assez profonde, trouvons du bois pour nous fabriquer des cannes à pêche » 'Ils quittèrent le bateau et se mirent en route pour atteindre un bosquet afin d’y trouver quelques branches.
'Quand ils revinrent, quelle ne fut pas leur surprise : le bateau était à sec et la mer était loin… « La mer est partie ! Il faut faire quelque chose » dit Moko.
Il se mit à marcher en direction des vagues qui s'éloignaient à l’horizon. — Attention, Moko ! cria Alarik. La mer revient aussi vite qu’un cheval au galop ! Tout le monde sait ça !